L'avènement des répéteurs

L’avénement des répéteurs
 
Introduction
 
Pour ceux qui connaissent ou ne connaissent pas le phénomène d’intrication, commencez par lire l’article suivant :
-20160925-[ACTU-La-teleportation-quantique-testee-en-pleine-ville]]http://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/physique-teleportation-quantique-testee-pleine-ville-64464/#xtor=EPR-17-%5BQUOTIDIENNE%5D-20160925-%5BACTU-La-teleportation-quantique-testee-en-pleine-ville%5D
 
Maintenant que tout le monde est un peu au parfum de ce qu’est l’intrication quantique,
lisez ces courts articles sur les nano-vaisseaux spatiaux :
http://fr.rbth.com/tech/2016/04/15/un-milliardaire-russe-et-stephen-hawking-lancent-un-projet-spatial_585053
http://www.lesechos.fr/13/04/2016/lesechos.fr/021838330566_milner--hawking-et-zuckerberg-veulent-explorer-les-etoiles----a-la-voile.htm
 
 
Un point succinct sur l’état de l’art :
(j’ai pas dit les tas de lard, quoi que…)
 
Bon, je résume :
1. La faisabilité technique du projet de catapultage par laser d’un mini-vaisseau est loin d’être gagnée, mais… ça se fera au XXIème siècle.
2. L’intrication permet de répéter instantanément une modification dans une structure cristalline « cible » faite dans une structure cristalline « source ».
3. A terme, on pourra donc envisager de propulser dans l’espace, à des vitesses proches de celle de la lumière, des objets matériels intriqués à des objets matériels sur terre.
 
Cadrage :

1. Ok, on ne pourra pas aller bien loin, nous-même (humains), avec cette approche.

2. Mon propos n’est pas d’anticiper plus avant avec du « JPP boosté » et des voyages à vitesse supérieure à 300 000 km/s : ça, ce sera pour bien plus tard, si l’humanité n’a pas claqué avant, avec toutes les conneries suicidaires qu’on fait en matière d’écologie.

3. JPP est Jean Pierre Petit, pourfendeur d’un gigantesque pas en avant, au moyen de voyages à vitesse supraluminique, en passant sous la nappe  d’un tissus de l’espace-temps qui serait à « double face » : La « face de con » dans laquelle nous pataugeons, et la « face de thon » dans laquelle nous pourrions nager à des vitesses pas possibles !
 
Une possible anticipation pour l’échéance 2100 (je rêve !) :
 
Imaginez qu’en 2100, on maîtrise des envois de mini-sondes à 280 000 Km/s;

Imaginez qu’en 2100, on maitrise la duplication exacte de mini-sondes intriquées aux premières, et à terre.



A vous maintenant de décrire ce qu'il serait possible :
- de voir
- de faire
- de construire
et ainsi de suite, grâce à ces moyens techniques.

 
Allez, laissez-vous aller, faites-nous rêver !

P.S. : Les contestations ou corrections de bêtises que j'aurais dites sont encouragées. Des alternatives peuvent être proposées... bref, laissez-vous aller, dans le sérieux comme dans l'onirique.

L'intrication quantique peut permette de jouer ensemble à un jeu électronique plus vite que la lumière, mais pas de communiquer plus vite que la lumière.  Il peut en revanche y avoir des moyens de déplacements dans l'espace qui soient
- Soit nettement plus rapide que les déplacements actuels.
- Soit accessible aux humains, même si ce n'est pas si rapide que cela.

http://www.sciencepresse.qc.ca/blogue/2013/06/24/lintrication-quantique-reve-communication-instantanee

On peut imaginer par ailleurs deux possibilités qui changent la donne.
- Une nouvelle découverte scientifique.
- Le fait que les humains que nous connaissons disparaissent, pour laisser la place à l'homo electronicus par exemple.

Un homo electronicus doit pouvoir se contenter de la vitesse de la lumière, le risque pour lui étant d'être composé de versions logicielles incompatibles en arrivant à bon port. Cela nous laisse un objectif qui semble humainement atteignable : se mettre à l'abri de l’obsolescence en informatique.

Ah, je sens que je vais rêver cette nuit d'envoyer une webcam intriquée avec la mienne pour voir le ballet des 3 étoiles d'Alpha Centauri et peut-être même jeter un œil indiscret sur leurs planètes ....  

Mais, j'y pense, si "ILS" ne faisaient pas déjà la même chose au dessus de nos têtes ???



Bon, je ferme les volets, on ne sait jamais ...