Voyage dans le temps

Quelles sont vos solutions ?

ça reste du domaine de l'imaginaire.
On va y passer une éternité.

saint-marc a écrit:ça reste du domaine de l'imaginaire.
On va y passer une éternité.

Le temps c'est imaginaire ?

Il suffit d'attendre, on voyage à raison de 3600 secondes à l'heure * !




Par contre, j'ai pas trouvé la marche arrière 


* : dans notre propre référentiel, ailleurs, faut voir ...

Si on tient compte du buffer de temps que l'on a dans le cerveau, de sa mémoire vivre, et de sa mémoire de masse, on doit pouvoir dépasser ces contraintes.

Si je traite deux fois plus d'information par exemple, je fais du 7600 secondes par heures ?

« Le temps c'est imaginaire ? »
               

         Faudrait p’tet qu’il existe, déjà…
               (quand tu l'auras rencontré, ou mesuré, tu me raconteras)


 
« Si on tient compte du buffer de temps que l'on a dans le cerveau, de sa mémoire vivre, et de sa mémoire de masse »
         

         Tu parles d’un buffer !

        Yaka ouvrir un livre d’histoire pour s’apercevoir

        de l’immense téléphone arabe qu’est la mémoire.

        Mais, c'est du petit telefon, comparé à la Genèse et l’Apocalypse.


Allô, allô..., yati un littéraire ici, pour nous faire du bon téléphone arabe ?


Les tas de lard de Wiki, en matière de mémoire:


Considérée comme l'une des principales facultés de l'esprit humain, la mémoire a fait l'objet des toutes premières investigations scientifiques. Les progrès dans la compréhension des mécanismes de la mémoire tiennent d'une part à l'étude de cas exceptionnels (patients amnésiques ou au contraire doués d'une capacité mnésique exceptionnelle, dite mémoire éidétique) et d'autre part, à l'application des méthodes de la psychologie expérimentale. Depuis le début du XX^e siècle, de nombreux modèles ont été proposés pour rendre compte des observations expérimentales. Et à partir de la deuxième moitié du siècle, les neurosciences cognitives ont fourni de nouveaux éléments concernant les bases biologiques de la mémoire chez l'être humain qu'il partage avec les autres animaux.

Mémoire en biologie

Il est important de préciser que les biologistes n'ont pas encore fait consensus sur le fonctionnement biologique de la mémoire, aussi cette partie présente trois hypothèses plausibles sur le sujet.
Selon certains chercheurs, la potentialisation à long terme déterminerait certaines des dimensions de la mémoire. Dans des synapses de l’hippocampe, la transmission s’améliore (potentialisation) pendant des heures ou des semaines après une brève période de stimulations à haute fréquence. Ainsi après un certain laps de temps, des influx nerveux provenant de potentialisations antérieures surviendraient et formeraient, ainsi, les souvenirs, donc la mémoire^7,8...
Selon une seconde théorie, les souvenirs seraient produits par des réseaux réverbérants : un influx nerveux stimulerait un premier neurone, qui en stimulerait un deuxième, qui en stimulerait un troisième et ainsi de suite. Les ramifications des deuxièmes et troisièmes neurones font synapse (connexion) avec le premier, de sorte que l’influx nerveux circule à répétition dans le réseau. Ainsi, tel un cycle, l’influx nerveux se poursuivrait et serait responsable de cette mémorisation. Une fois émis, le signal pourrait durer de quelques secondes à plusieurs heures selon la disposition des neurones dans ledit réseau. C’est ainsi qu’une pensée pourrait persister dans l’encéphale, même après la disparition du stimulus initial. Autrement dit, la durée de rétention d’une pensée correspondrait à la durée de réverbération (Comparaison avec amphithéâtre)^7,8.
Finalement, l’information pourrait suivre ce trajet : lorsqu’une perception sensorielle se formerait dans le cortex sensitif (pariétal), les neurones corticaux distribueraient les influx dans deux réseaux parallèles destinés à l’hippocampe et au corps amygdaloïde, qui ont chacun des connexions avec le diencéphale (thalamus et hypothalamus), le télencéphale ventral et le cortex préfrontal. Le télencéphale ventral fermerait ensuite la boucle de la mémoire en renvoyant les influx aux aires sensitives qui avaient initialement formé la perception. On pense que cette rétroaction transforme la perception en un souvenir relativement durable. Ainsi, des connexions neuronales s’établiraient entre les régions corticales où aurait lieu la mémoire à long terme au moyen d’un appel conférence et ce jusqu’à ce que les données puissent être consolidées. Le souvenir récent resurgira à l’occasion d’une stimulation des mêmes neurones corticaux

Il y a mieux !

La mémoire des évènements est transformée au fil des réminiscences.
Et oui, quand on se restitue un souvenir, s'y ajoute une gangue de pensées et émotions nouvelles, de sorte que ... on remballe la chose légèrement modifiée : Radotez, radotez, et vous verrez le résultat !

https://youtu.be/W6lchS8ICaM

Je vois que ça mélange un peu tout ici.
La mémoire ou le voyage dans le temps ?

Bon alors Voyage dans le temps, une solution ? Bah oui tout le monde voyage dans le temps !
Tu te déplace ? Ben tu voyage dans le temps, pas plus compliqué que ça. Oh c'est certain même en te déplaçant dans un avion tu vas pas faire un gros voyage dans le temps, quelques millisecondes, mais désolée tu voyages dans le temps - Pa rapport à celui qui est pas dans l'avion ! C'est le «paradoxe des jumeaux» d'Albert Einstein.
Bon on va étaler ici la relativité restreinte, ça filerait mal au crane. Mais bon voila tu peux voyager dans le temps (que dans un sens), suffit de te déplacer, et plus tu te déplace vite plus tu voyages dans le temps.

Version simplifié du paradoxe des jumeaux : Nous avons Daniel qui reste sur Terre pendant que son jumeau Michel s'embarque dans une fusée très rapide. Supposons que nos deux jumeaux aient 20 ans, et que, en l'an 2000, Michel parte pour un voyage aller-retour d'un an (selon sa montre qu'il emmène avec lui), à une vitesse très très élevée. À son retour, Michel sera donc âgé de 21 ans, puisqu'il est parti un an. Et c'est bien ce que sa montre indique. Mais qu'elle n'est pas sa surprise de voir son frère qui l'attend sur le quai d'embarquement. Il a plus de 80 ans! Daniel lui dit que sur la Terre, c'est l'an 2060! Ainsi, ce qui a paru un an à Michel en a paru 60 à Daniel. Ainsi, pendant le voyage, le temps s'est écoulé beaucoup plus lentement dans la fusée que sur la Terre. Michel le voyageur a ainsi fait un saut de 60 ans dans le futur, mais SANS aucune possibilité de revenir en arrière. S'il avait été encore plus vite, il aurait fait un saut de plusieurs siècles.

Pas compliqué de voyager dans le temps, tu bouges tu voyages dans le temps (par rapport à celui qui ne bouge pas ou bouge mais pas à la même vitesse que toi), pas de quoi en chier une pendule (désolée mais là l'expression prend toute son importance...)

Je la ramène encore un peu :
Le temps n'a pas de substance, ne se mesure pas : L'espace oui !
Et les interactions sont signées : Spectre de fréquences, voilà la seule mesure des choses.

Fréquences, fréquences, vous avez dit fréquences ?

On a un peu de mal à se débarrasser du temps, mais certains y parviennent.
Carlo, qui n'est pas un charlot, l'a fait (pardon, le fait, y-a plus de temps, je fais comment ?).
Rovelli que j'ai lu, que j'aime bien, m'inspire que tant que le temps nous habite, nous n'avons accès qu'au présent.
Alain Connes va carrément plus loin, avec sa subtile géométrie non commutative : Nous avons accès à tout (tous les temps) si nous avons accès à toute l'information (du présent, donc en se débarrassant de l'entropie).

...accès à tous les temps ?
Pas par déduction (impossible en quantique), non, tout est là !
c'est mathématique (baleze, le Monsieur)

Et ça, ça me fait serrer le trognon.


Alain Connes n'est pas vieux, mais pas tout jeune. (comment voulez-vous qu'il déconne ?)



Encore un grand barbu !
**nne pour un, Connes pour tous !


Carlo, lui, a encore du temps
... au poignet. Il utilise Gillette

Je ne pense pas que réfléchir plus vite accélère le temps (sinon le délai de réflexion) ...
D'ailleurs celui qui donnera une définition du temps plus élaborée que ce qu'on trouve dans un dico n'est pas encore né ! (quoique ... Etienne Klein ...)
Le temps est une variable mathématique imaginaire, érigée en dimension dans la Relativité (ce qui ne remet pas en cause cette dernière).

Le temps n'est pas une grandeur physique, du moins pas comme les autres.

Quelle est la vitesse d'écoulement du temps ?
Une vitesse, c'est la dérivée d'une grandeur par rapport au temps, donc la vitesse du temps, c'est dt/dt = 0

Le paradoxe des jumeaux :
La version simple est un non sens.

Elle présente un paradoxe : il y a symétrie entre les référentiels inertiels. Du point de vue du voyageur, c'est celui resté sur Terre qui vieillit moins vite. Alors paradoxe ou pas ?

On oublie le temps de transmission de l'information ...

Elle suppose, pour suivre les transformation de Lorentz, que le voyageur dérive à vitesse constante. C'est oublier les phases d'accélération (au minimum : départ, demi-tour, décélération au retour) qui font changer de référentiel inertiel ...

.

J'apporte une nuance à mon discours sur Alain Connes et la disparition du temps.

Il a en effet mis en place une algèbre qui permet de concilier le continu et le discret au moyen d'espaces de Hilbert assortis de manière naturelle à des groupe finis associables (!) aux valeurs propres de Dirac des particules (les spectres de fréquences, en clair) : Des bidules qu'il appelle groupes auto-adjoints aux morphismes des particules.
La puissance de sa géométrie (car il s'agit bien d'une nouvelle géométrie) est qu'elle réduit considérablement le nombre des constantes de la physiques actuelle.

Mais... cette association n'a pour domaine d'application physique possible que de très hauts niveaux d'énergie. Et, chacun sait que le temps part en sucette à l'approche du big-bang.

C'est donc très chaud que je me suis lancé dans l'affirmation que tout était là !

Car, évidemment, il faut suer, et bien suer, pour en arriver là.

@Tcherno : Tu connais mon avis sur les référentiels : C'est l'espace local de la relativité générale qui est l'espace local absolu : Le voyageur qui se déplace dans un champ gravitationnel donné est celui qui vieillit le moins. Celui, immobile, dans le même champ (à un chouia près avec l'altitude) prend un coup de vieux plus vite.
Einstein, Landau et d'autres sont d'accord là-dessus.

Le principe d'équivalence permet de tout savoir du vieillissement du voyageur, puique la RG permet de calculer en fonction de la vitesse (RR) et aussi d'y ajouter la composante liée à l'accélération, quelle qu'elle fût. Il suffit d'intégrer tout cela sur l'ensemble du voyage (avec son accélération au départ, sa vitesse et ses accélérations diverses au cours du voyage et enfin sa décélération à l'arrivée).

De toute façon, c'est quand la cheville se dilate qu'on mesure bien le temps !
(les bandelettes, les bandelettes, où sont les bandelettes !)

Merci pour cette matière, que je vais essayer de consommer par petites quantités.

Pour moi le temps n'existe que comme une commodité utile dans l'esprit humain.

On peut très bien le gommer de la physique, mais nous sommes tellement habitués qu'il aurait du mal à nous quitter dans le langage courant.

Tchernobilly the kid a écrit:
Quelle est la vitesse d'écoulement du temps ?
Une vitesse, c'est la dérivée d'une grandeur par rapport au temps, donc la vitesse du temps, c'est dt/dt = 0

Zéro pointé pour Tchernobilly.  dt/dt ça vaut 1 et pas zéro.  La "vitesse d'écoulement du temps" en utilisant sa propre référence est évidemment 1 seconde par seconde. 

Ou l'art d'enfoncer des portes ouvertes 

J'ai invité quelqu'un à s'exprimer sur le sujet.

https://www.youtube.com/watch?v=6yMiUq7W_xI

Pierre a écrit:

Tchernobilly the kid a écrit:
Quelle est la vitesse d'écoulement du temps ?
Une vitesse, c'est la dérivée d'une grandeur par rapport au temps, donc la vitesse du temps, c'est dt/dt = 0

Zéro pointé pour Tchernobilly.  dt/dt ça vaut 1 et pas zéro.  La "vitesse d'écoulement du temps" en utilisant sa propre référence est évidemment 1 seconde par seconde. 

Ou l'art d'enfoncer des portes ouvertes 

Ben oui, dt/dt = 1 ! cohérent avec le reste de mon message.
Calamité de lapsus calami !

Porte ouverte peut-être,mais as-tu une définition du temps non subjective ?
Voire une définition de la vitesse du temps ?

.

Acquitté au bénéfice du doute !  Va pour le lapsus calami, ou plutôt lapsus clavis, il faut vivre avec son temps.

Une définition du temps ? Moi je veux bien donner la mienne, le temps est la manifestation de l'augmentation d'entropie d'un système. C'est donc relatif à ce système, c'est une grandeur locale. 

La vitesse du temps est comme toute vitesse une grandeur relative aussi, si on la réfère à elle-même on a toujours 1 comme on a vu. En relativité on peut calculer un temps relatif au temps de l'observateur, à ce moment on peut avoir des vitesses différentes de 1 genre dtx/dtr  où tx est le temps dans le système étudié et tr le temps de référence.

@Pierre :

Assez d'accord sur les trois points.


Pour revenir précisément à la question, il nous reste, hormis les digressions biologiques (intéressantes par ailleurs) :
- attendre qu'il passe,
- rêver,
- la science-fiction.

.

Encore un point de "détail" : 

Si on considère un système local, comment expliquer le ralentissement du temps local lorsque le champ gravitationnel augmente ?  Quelle interaction avec l'entropie ? 

Pour mémoire, cette influence sur le temps est tout à fait mesurable, à tel point qu'on est obligé d'en tenir compte pour maintenir l'exactitude de nos GPS favoris, qui sans cela nous feraient labourer la campagne...

Bonjour Pierre,

c'est l'inverse : Une horloge au sol tourne plus vite qu'une horloge sur une table à 1m de haut.
Mais, pour le GPS, le bilan RR / RG fait que l'horloge dans le satellite tourne moins vite : Les deux effets sont contraires (altitude => temps accéléré; vitesse => temps ralenti).

Mon explication intuitive :

Le champ gravitationnel est un champ d'accélération. Ce potentiel d'accélération est en fait un différentiel d'impulsion réel du vide quantique. Je m'explique : Le vide quantique est constitué de fluctuations qui génèrent des particules virtuelles. Ces dernières sont des couples d'électrons/positons qui, lorsqu'ils s'annihilent, provoquent l'émission de photons virtuels à impulsion réelle. La gravitation serait, selon moi, un champ vectoriel centripète à module radial croissant provoqué par le rythme croissant d'impulsions tournées vers l'objet massif.

En relativité restreinte, avec la vitesse (dans le vide quantique précisément, qui a ce "gradient" d'impulsions), une particule massive cède un peu de son rythme propre d'impulsions (sa fréquence) aux particules virtuelles en se déplaçant - c'est assez compliqué à bien montrer si on rentre dans le détail du champs propre de la particule elle-même -, et donc voit son propre écoulement du temps diminuer (du coup, sa durée de vie augmente).
La fréquence de De Broglie augmente car il s'agit du surplus de fréquence transmis au vide environnant par le coeur de la particule !

La raison pour laquelle une particule réelle a une fréquence supérieure à celle du vide serait, toujours selon moi, dû à une température plus faible du vide qui se "fige" et se "contracte", laissant un vide interstitiel entre le coeur chaud de la particule et son voisinage. Ce que je raconte correspond à un modèle élaboré par un physicien des fluides et des solides qui a élaboré une théorie du tout (il s'agit de Gérard Grumeaud, prof émérite à Polytechnique Lausanne : https://www.youtube.com/watch?v=o1uJtO5Iqx4)

Pour l'entropie, je ne vois pas ce que tu veux dire : Pour moi, le temps qui s'écoule moins vite => des transformations qui se font moins vite, mais avec entropie.

J'dis ça, j'dis rien !

J'ai un nouveau moyen de voyager dans le temps : prendre le train photon.

Notre ami le photon est indifférent au temps dans son référentiel. Pour lui tout se passe "en même temps". Pour un photon qui a 10 milliards d'année il n'y a pas de différence entre le moment ou la galaxie s'est formée, la fin des dinosaures et le moment du premier baiser.

Il suffirait donc de monter à bord du photon (ce qui pose encore quelques problèmes) et de descendre là ou on le souhaite. Tout étant indifférent sur le plan historique il n'y a aucune différence entre le moment et le passé.

J'avoue que c'est de la science-fiction, mais cela donne à réfléchir ? Si le photon fait parti d'une paire intriquée c'est encore pire.


"Mais bon dieu mais c'est bien sûr !"
La voilà la solution : la téléportation dans le temps !

.

Utopie, rêve ou future réalité .... quelles qu'en soient les possibilités ou conditions ....

Ne croyez-vous pas que ce serait une folie ?

René Barjavel (la référence littéraire de mon adolescence), grand "voyageur" dans l'espace, le temps, l'inconnu et l'improbable pose un réel problème dans l'un de ses romans : < Le voyageur imprudent > où son personnage principal qui découvre un moyen de passer d'une époque à l'autre, se retrouve en pleine 1è Guerre mondiale ..... au cours de laquelle il tue son grand-père (il l'apprendra plus tard).

Mais dans ces conditions :
S'il tue son grand-père, il ne peut pas exister donc ne peut pas voyager dans le temps, donc ne peut pas tuer son grand-père ....

Alors, messieurs les physiciens .... avec toutes vos histoires de protons, de photons ou de champs gravitationnels .... la logique inter-générationnelle de l'Homme ne suffit-elle pas à rendre cette opération impossible ?


.... quel emmerdeur, ce Barjavel

Alexandre a écrit:J'ai un nouveau moyen de voyager dans le temps : prendre le train photon.

Gardez vous bien de divulguer ces propos en public mon cher. Sinon le sieur Guillaume Pépi risque de vouloir en faire un business ! Si vous propagez cette idée on verra bientôt des billets de train photon à vendre. Or je ne souhaite pas du tout que cette particule soit l'objet d'un honteux trafic monétaire.
Déjà qu'EDF nous vends du vent (celui qui passe dans les palées de leurs éoliennes) si en plus de ça on nous vend de la lumière, mais où vas-ton ???

Qui sait, pour les photons, il existe peut-être déjà un marché au noir.
Imaginez la livraison, sous le manteau : J'te file un photon, tu m'files un électron.
On pourrait aussi jouer à pile ou face... un peu pipé, le jeu, avec des photons intriqués. Franchement, je le sens pas, ce business.
Trop d'arnaque possible, ou faut vraiment avoir envie de jouer à l'aveugle.

Admin a écrit:
Déjà qu'EDF nous vend du vent (celui qui passe dans les pales de leurs éoliennes) si en plus de ça on nous vend de la lumière, mais où vas-ton ???

Ce ne serait qu'un retour vers le futur.

Tu n'as pas connu le slogan d'EDF dans les années 80 ...

"Nous vous devons plus que la lumière"

Ben j'avais -6 ans Tcherno !
j'ai souvenir d'une pub "les hommes qui relient les hommes" ou un truc du genre.
gamine je voyais ça bien cette idée de relier les hommes. Plus grande j'ai compris que il y avait une erreur dans le slogan, le bon étant
"Les hommes qui relient surtout les factures plutôt que les hommes...." Lol

Bon trêves de balivernes, moi j'ai la solution pour voyager dans le temps !
Ma machine va vous faire revenir en 1983. Année ou sortait Ain't Nobody de Chaka Khan.
Vous n'aurez qua appuyer sur le bouton "Play" et vous serez transportés en 1983.

Oubliez pas de monter le volume pour bien profiter du voyage.

Et oh que c'est bon avec Polina Gagarina (Полина Гагарина) qui chante. Elle a une voix sensationnelle et qui colle bien à ce morceaux. Le tout avec FRUKTbl. Et encore là c'est rien, sur scène c'est extra !